Le rucher en hiver
Samedi après-midi ensoleillé : nous visitons le rucher avec notre guide/apiculteur François Valet. Il fait très bon, mais le rucher semble endormi. Les abeilles qui ont réussi à survivre l'assaut des frelons de cet automne sont à l'intérieur des ruches. On ne les voit pas, mais si elles sont encore en vie elles doivent agiter leurs ailes et leurs pattes pour se tenir chaud.
Il ne faut surtout pas ouvrir les ruches en ce moment, donc impossible de savoir combien de colonies d'abeilles sont encore en vie. Curieusement, devant une seule ruche (vert foncé) il y a de l'activité : quelques abeilles sortent et entrent, parfois avec du pollen (blanc) sur les pattes.
Le frelon asiatique (Vespa velutina) qui nous a assailli cet automne, est actuellement en période de hivernage, blotti dans des lieux abrités, en attendant le printemps.
Sur l'avenue des Mimosas, pas loin du rucher (environ 200 mètres à vol de frelon) nous avons aperçu un énorme nid de frelons en haut d'un grand chêne.
Selon les voisins, jusqu'à récemment ce nid était complètement caché par le feuillage. Mais en octobre, ces gens avaient déjà fait enlever de leur cheminée un plus petit nid.
Rien à faire en ce moment, car les frelons en général ne reviennent pas dans un ancien nid. Au printemps (mi-mars) il faut être extrêmement vigilants, repérer immédiatement tout nouveau nid construit dans les parages, et le faire enlever par des gens expérimentés et bien équipés. L'Association MAIA se joint à d'autres groupes (le CIVAM par exemple) pour demander aux Maires et au Conseil général de subventionner la mise en place de services adéquats pour éradiquer le frelon asiatique. Il n'y a pas de temps à perdre!
Sur l'avenue des Mimosas, pas loin du rucher (environ 200 mètres à vol de frelon) nous avons aperçu un énorme nid de frelons en haut d'un grand chêne.
Rien à faire en ce moment, car les frelons en général ne reviennent pas dans un ancien nid. Au printemps (mi-mars) il faut être extrêmement vigilants, repérer immédiatement tout nouveau nid construit dans les parages, et le faire enlever par des gens expérimentés et bien équipés. L'Association MAIA se joint à d'autres groupes (le CIVAM par exemple) pour demander aux Maires et au Conseil général de subventionner la mise en place de services adéquats pour éradiquer le frelon asiatique. Il n'y a pas de temps à perdre!
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